Les nations occidentales se présentent souvent comme les champions de la démocratie, proclamant leur mission de propager ces valeurs à travers le monde. Cette auto-proclamation leur donne, selon eux, la légitimité de justifier leur mode de vie par rapport à d’autres cultures, en affirmant sans honte : « Au moins, nous avons une démocratie, contrairement aux autres. » Permettez-moi de contredire cette thèse et de prouver que la démocratie, telle qu’elle est promue par l’Occident, n’existe pas réellement.
Les soi-disant démocrates détestent les référendums
Lors de la construction de l’Union européenne, plusieurs référendums ont eu lieu en France, en Irlande et aux Pays-Bas (2005). Les peuples ont voté contre l’adhésion à l’Union européenne. Cependant, les politiciens ont contourné ce choix et intégré de force ces pays dans l’Union européenne. Depuis, les référendums sont devenus rares dans l’Union européenne. Le dernier en date, allant à contre-courant de la politique européenne, est celui du Brexit en Angleterre, où le peuple a confirmé son refus de rester dans l’UE. Il est presque certain qu’il n’y aura plus de référendums de sitôt dans les pays occidentaux.
Les États-Unis et leur défense illusoire de la démocratie
Il est surprenant de voir les États-Unis continuer à prétendre défendre la démocratie, alors que le mot « démocratie » ne figure nulle part dans leur constitution. Joe Biden est un président élu sous une ombre de soupçons de fraude électorale massive. Donald Trump ne reconnaît toujours pas la victoire de Biden. Aucune enquête approfondie, neutre et sérieuse n’a été menée pour dissiper ces soupçons. La moitié du peuple américain conteste la victoire de Biden. Les démocrates américains ont tout fait pour étouffer la contestation, lançant une chasse aux sorcières contre Donald Trump et ses partisans, les traînant en justice par des coups montés. Pour les prochaines élections de fin 2024, les démocrates utilisent des moyens dignes de dictatures pour détruire le principal opposant Donald Trump et l’empêcher de participer aux élections ou simplement pour l’affaiblir.
L’ingérence américaine et la fausse démocratie
Les politiciens américains affirmaient que les Russes avaient influencé les élections américaines, ce qui avait permis la victoire de Trump, menaçant la Russie de représailles. Aucune preuve de ces affirmations n’a été présentée au public, et ces allégations se sont avérées fausses. Pourtant, les États-Unis sont les champions de l’ingérence dans les élections des pays tiers, voire pire, en provoquant des coups d’État. Quelle ironie pour une démocratie prétendue!
La France et le simulacre de démocratie
En France, il y a eu des soupçons de trucage lors de la seconde victoire de Macron pour son deuxième mandat. Si la France était vraiment démocratique, le Rassemblement National serait au pouvoir, car ce parti est le premier en France, alors que le parti de Macron constitue une minorité. Lors des élections, au second tour, un consensus anticonstitutionnel s’installe de manière médiatique pour favoriser le « tous contre le Rassemblement National, » donnant ainsi un avantage injuste aux anti-Rassemblement National. Que l’on aime ou non le Rassemblement National, si on parle de démocratie, il faut accepter le choix du peuple sans truquer les élections, car les médias peuvent biaiser les résultats.
L’Allemagne et la montée de l’extrême droite
En Allemagne, suite à la montée du mouvement d’extrême droite AFD et d’une réunion secrète avec des membres de l’extrême droite autrichienne, l’élite allemande souhaite interdire l’AFD pour éliminer un concurrent devenu gênant. Les partis d’extrême droite montent en puissance à cause de la propagande raciste des médias et des politiciens des partis classiques plus préoccupés par les ingérences dans des pays souverains étrangers que par les problèmes croissants de leurs propres populations. De plus, en début d’année, suite à des irrégularités lors des élections municipales, les Berlinois ont dû refaire les élections, changeant ainsi certains candidats précédemment élus. Ah, la démocratie!
Les interventions occidentales et leurs conséquences
Après avoir tenté d’imposer la démocratie en Irak, en Afghanistan et surtout en Libye, nous constatons aujourd’hui que ces pays étaient mieux avant l’intervention des Occidentaux. La Libye avec Kadhafi était mille fois mieux avant l’intervention criminelle des Occidentaux.
Les crimes des pays dits démocratiques
Les pays dits démocratiques commettent actuellement le plus de crimes dans le monde, tels que les États-Unis avec plus de 20 millions de crimes en 20 ans, avec la France, la Belgique, l’Angleterre et l’OTAN, une organisation criminelle regroupant des pays démocratiques mais agressant et tuant (Kosovo, Libye…). Actuellement, les pays les plus criminels sont les pays démocratiques occidentaux qui se donnent le rôle de gendarmes du monde.
La démocratie : une illusion vouée à l’échec
N’oublions pas que les Nazis sont arrivés au pouvoir démocratiquement avant de provoquer la Seconde Guerre mondiale et de massacrer des peuples. La démocratie est un faux alibi et un système qui ne résistera pas au temps. Aujourd’hui, les puissances montantes ne sont pas forcément démocratiques, comme la Chine. Cependant, il faudra innover et trouver un modèle encore plus viable que cette pseudo-démocratie. L’Afrique, par exemple, a obtenu son indépendance via les partis uniques. Aujourd’hui, avec le multipartisme, beaucoup de pays africains avancent à reculons. L’Afrique devrait redonner le pouvoir aux chefs authentiques, non corrompus par les élites politiques, et gérer les régions en fonction des tribus et de leurs cultures pour ne pas céder aux frontières artificielles imposées pendant la colonisation, qui ne reflètent pas les réalités culturelles.
Shaka Wambo
Uneek24 Media 